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Affichage des articles du avril, 2018

Nuit sans fin, Preston and Child, Editions de l'Archipel

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À FORCE DE TROUVER  DES CADAVRES SANS TÊTE…     Quel point commun entre la fille d’un milliardaire, un ancien avocat véreux, un oligarque russe… ? Tous ont été assassinés à New York, la cité des ténèbres, la ville de la nuit sans fin. Tous ont été décapités et leur tête a disparu, comme si l’assassin était une sorte de collectionneur morbide…    … PENDERGAST POURRAIT BIEN Y PERDRE LA SIENNE !     Selon quels critères le criminel choisit-il ses victimes ? Vincent d’Agosta, du NYPD, et l’agent spécial Pendergast, du FBI, sont sur les dents. D’autant que ce dernier pourrait bien être la prochaine cible du tueur. Une enquête constellée de fausses pistes où intelligence et sens de la déduction seront des atouts capitaux !    « Tout comme dans  Relic , leur première aventure, d’Agosta et Pendergast sont sur les traces d’un criminel diabolique. Un opus très réussi ! » Suspense Magazine Je n'avais encore jamais lu une histoire de Preston and Child (oui, shame

Sale boulot, Larry Brown, Editions Gallmeister

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Braiden Chaney n’a plus ni jambes ni bras. Walter James, lui, n’a plus de visage. Ils les ont tous les deux été mutilés au Vietnam. L’un est noir, l’autre est blanc. Vingt-deux ans plus tard, ils se retrouvent dans la même chambre d’un hôpital pour vétérans dans le Mississippi. Au fil d’une très longue nuit, ils se racontent ce qu’ils étaient, ce qu’ils sont devenus, ce qu’ils pourraient devenir et, surtout, ce qu’ils attendent l’un de l’autre. En une nuit, tout est dit sur la guerre – seul lien entre ces deux hommes que tout oppose – et ce qu’elle fait subir aux soldats. En une nuit, tout est dit sur la souffrance, sur la mort et la compassion. Un homme tronc, un autre défiguré se retrouvent dans la même chambre d'hôpital une longue, très longue nuit. Les deux rescapés de la guerre du Vietnam vont se raconter leur vie autour de bières, de somnolence, de somnifères et de bavardages. Ils se racontent, se dévoilent, se mettent à nu. Braiden rencontre Walter. Deux êtres

Les limbes, Olivier Bal, éditions De Saxus

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Vietnam, 1970. James Hawkins est une jeune recrue. Durant un assaut, il prend une balle dans la tête et croit mourir. Après un mois de coma, et tandis qu'il essaie de se rétablir dans un hôpital de Saigon, il découvre que quelque chose s'est éveillé en lui. Ses nuits deviennent des épreuves, son sommeil et ses rêves ne lui appartiennent plus. Désormais, lorsqu'il dort, il visite les songes des autres... Seuls les médicaments l'empêchent de rêver. Un an plus tard, un ancien frère d'armes, Nate Irving, vient frapper à sa porte. Il est venu le chercher pour participer à un projet secret sous la supervision de la CIA : Les Limbes. Direction une base perdue au fin fond de l'Alaska où James, accompagné d'autres individus dotés des mêmes capacités, va commencer à maîtriser ses aptitudes. Il découvrira ainsi qu'il peut non seulement explorer les rêves d'inconnus mais surtout en prendre le contrôle et les modifier. Mais certaines portes devraient rester ferm

La femme à la fenêtre, A.J. Fini, Presses de la cité.

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Séparée de son mari et de leur fille, Anna vit recluse dans sa maison de Harlem, abreuvée de merlot, de bêtabloquants et de vieux polars en noir et blanc. Quand elle ne joue pas aux échecs sur internet, elle espionne ses voisins. Surtout la famille Russell – un père, une mère et un adorable ado –, qui vient d’emménager en face. Un soir, Anna est témoin d’un crime. Mais comment convaincre la police quand on doute soi-même de sa raison ? «  La Femme à la fenêtre  appartient à ce type de livres singulier qu’il est impossible de lâcher. » Stephen King « Stupéfiant. Palpitant. Finn nous offre un thriller digne de ce nouveau millénaire. » Gillian Flynn « 10/10 sur l’échelle du twist ! » Val McDermid « Une oeuvre sombre au dénouement époustouflant. » Ruth Ware Bien sûr le pitch fait irrémédiablement penser à "Fenêtre sur cour", d'ailleurs, c'est ce film qui a inspiré l'auteur. Anna Fox, pédopsychiatre est seule, cloîtrée chez elle. Elle souffre d'agora