Amazonia (James Rollins)


Amazonia est le premier roman que je lis de James Rollins. Nathan Rand, scientifique isolé en Amazonie, n'a jamais perdu l'espoir de retrouver une expédition disparue 4 ans auparavant conduite par son père.
Cet espoir est relancé par une jolie docteur chargée de conduire une nouvelle expédition et qui l'invite à rejoindre son équipe.
Mais au plus profond de la jungle, une nature livrée aux mutations les plus folles les attend.

Alléchant, non ? C'est ce que je me suis dit en parcourant pour la première fois le quatrième de couverture. Il y a des moments où le lecteur est prêt à lire certaines choses, à découvrir certains territoires, à vouloir croire certaines histoires... Peut-être que si j'avais découvert ce roman l'année dernière, je l'aurais ignoré. Là, j'étais prêt et j'avais envie de me plonger dans la forêt dense et étrange de l'Amazonie.
C'est donc avec un enthousiasme non feint que je l'ai ouvert et croyez-moi ou pas, ce livre je l'ai dévoré en 3 jours. L'écriture de Rollins est agréable et facile à lire, les personnages sont sympathiques, même les méchants prêtent parfois à sourire tellement ils nous rappellent des acteurs de cinéma, le récit est bien construit même s'il faut accepter le postulat de Rollins (et que je ne dévoilerai pas ici) qui peut déconcerter.
Je  ne me suis pas ennuyé une seule seconde à la lecture de ce roman. Le récit s'enchaîne comme un film d'aventures (genre Prédators) où les scènes d'actions sont ponctuées de moments où les protagonistes peuvent se reposer.
Bref, vous l'aurez compris, Amazonia m'a procuré un très agréable moment de lecture. Bien sûr, il ne faut pas y chercher de la grande littérature. C'est un bon livre de série B, comme j'ai pu le lire sur un forum spécialisé.

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